1. |
Fantôme
04:31
|
|||
Étrange de se voir comme si c’était hier
Un visage que je connais à une distance étrangère
Il fait plus froid qu’avant, la neige recouvre tes cheveux
C’est un nouveau syndrome, c’est la saison des fantômes
Le silence est bruyant
Il allume des feux
Qui nous retiennent ici
Qui nous retiennent ici
Je ne sais pas comment te parler
J’ai peur de tout échapper
Est-ce qu’on se connaît vraiment?
Ou on fait juste semblant?
Qu’est-ce qui t’empêche avec moi
De te laisser aller?
Est-ce qu’on se connaît vraiment?
Ou on fait juste semblant?
Qui est devenu quoi?
Qui est devenu pourquoi?
Le premier, le dernier, au début, à la fin
L’un ou l’autre, à qui revient la faute?
Qu’est-ce que ça change?
Qu’est-ce qui dérange?
On fait comme si ça nous arrange
L’un ou l’autre, à qui revient la faute?
Qu’est-ce que ça change?
Qu’est-ce qui dérange?
On fait comme si ça nous arrange
L’un ou l’autre, à qui revient la faute?
Qu’est-ce que ça change?
Qu’est-ce qui dérange?
On fait comme si ça nous arrange
Est-ce qu’on se connaît vraiment?
Ou on fait juste semblant?
Qu’est-ce qui t’empêche avec moi
De te laisser aller?
Est-ce qu’on se connaît vraiment?
Ou on fait juste semblant?
|
||||
2. |
Mornin'
03:09
|
|||
When I wake up in the mornin’
I clearly see your face
In the clouds above my head
In the storms inside my head
When I wake up in the mornin’
I see all of our tomorrows
Sweet days filled with mist
Blue nights under the moonlight
I’m scared of not meeting you ever
Where are you now?
Do you think of me too?
Quand je rêve le matin
Je vois clairement ton visage
Dans les nuages qui défilent
Tes traits se forment et se déforment
Quand je rêve le matin
Je vois tous nos lendemains
Des jours doux bercés de brume
Des nuits bleues au clair de lune
J’ai peur de ne jamais te trouver
Penses-tu aussi à moi parfois?
|
||||
3. |
Polymorphe
03:36
|
|||
Ce qui ne suffit pas ne suffit plus
Je suis en retard, plus rien sur le radar
Est-ce que j’ai tout vu?
Est-ce qu’on m’a aperçue?
Je n’sais pas où je dois tomber
Ni qui sera là pour m’attraper
J’ai longuement contemplé la nuit
Je crois qu’elle m’a reconnue aussi
Je suis en déséquilibre
Quelque part loin de moi
Ce qui m’effrayait ne m’effraie presque plus
Combien de soleils me séparent de l’éveil?
La peur est une fleur
Je connais son odeur
Malgré tout elle arrive toujours
À me rattraper
J’ai longuement contemplé la nuit
Je crois qu’elle m’a reconnue aussi
Je suis en déséquilibre
Quelque part loin de moi
J’ai longuement contemplé la nuit
Je crois qu’elle m’a reconnue aussi
Je suis en déséquilibre
Quelque part loin de moi
|
||||
4. |
Flores
03:28
|
|||
Mírame, mírame, mírame, mírame
¿Por qué tienes los ojos cerrados?
Los ojos cerrados
¿Qué vas a hacer cuando me vaya?
¿Qué vas a hacer esperándome?
Mírame, mírame, mírame, mírame
¿Por qué tienes los ojos mojados?
Los ojos mojados
Mírame, mírame, mírame, mírame
Mírame, mírame, mírame, mírame
¿Por qué tienes los ojos cerrados?
Los ojos cerrados
¿Sabes que no les tengo miedo?
A las flores violentas
A las flores mentirosas
¿Sabes que no les tengo miedo?
A los amores hermosos
A los amores peligrosos
Mírame, mírame, mírame, mírame
Mírame, mírame, mírame, mírame
Mírame, mírame, mírame, mírame
Mírame, mírame, mírame, mírame
Mírame, mírame, mírame, mírame
Mírame, mírame, mírame, mírame
Mírame, mírame, mírame, mírame
Mírame, mírame, mírame, mírame
|
||||
5. |
Citadelle
04:11
|
|||
C’est la fin, c’est la fin
Suis-moi en ascension dans les passages étroits
Qui mènent à la citadelle
La lune nous attend depuis longtemps
Sous l’arche des Romains
Mon cœur saigne dans le tien
Pour accueillir la fin du monde
Je compte les secondes
Pour accueillir la fin du monde
Je compte les secondes
C’est la fin, c’est la fin
Suis-moi les yeux fermés
Tu dois me faire confiance
J’ai vu les heures à venir
Plus d’une fois en rêves éveillés
Sous l’arche des Romains
J’entends l’écho du chant des oiseaux
Pour accueillir la fin du monde
Ils comptent les secondes
Pour accueillir la fin du monde
Ils comptent les secondes
|
||||
6. |
Oniromancie
00:42
|
|||
7. |
Supernova
03:50
|
|||
Mirage, mirage
Une image s’embrase
Un nouveau paysage
L’ombrage d’un drame
À l’horizon
Une étoile meurt
En beauté
Avant l’heure
En vitesse
Avant moi
Mirage, mirage
Une image s’embrase
Un nouveau paysage
L’ombrage d’un drame
À l’horizon
Une étoile meurt
En beauté
Avant l’heure
En vitesse
Avant moi
À l’horizon
Une étoile meurt
En beauté
Avant l’heure
En vitesse
Avant moi
En silence, les fleurs se déhanchent
De l’ombre à la lumière
En silence, les fleurs dansent
Les unes contre les autres
En silence, les fleurs implosent
Comme une supernova
Comme une supernova
Comme une supernova
|
||||
8. |
Politesse
03:07
|
|||
J’attends ton retour
J’attends ton retour
J’attends ton retour
J’attends ton retour
J’attends ton retour
Est-ce que je t’attends pour regarder les images défiler
Dans les miroirs où je t’ai vu me défier
Où est ta main?
Tu appuies sur le frein
Où est ta main?
Tu reformes le terrain
J’ai vu tes souliers écraser des sourires
Avant la finale, tu me montres le pire
Tu me montres le début de ton départ
Tu prends des détours, fais des allers-retours
Prends et reprends et prends et reprends
Prends et reprends et prends et reprends
Je connais les secrets, ceux qui t’ont éloigné
J’ai rangé les miroirs et tes souliers dépareillés
J’ai compris mes erreurs et j’ai refait les mêmes
Repris la poussière et retourné la terre
J’ai retourné la terre à l’envers
J’ai recherché, j’ai cherché
Des traces de toi dans les corps enneigés
Entre le futur, le passé et le présent
Je prends des détours, fais des allers-retours
Prends et reprends et prends et reprends
Prends et reprends et prends et reprends
Prends et reprends et prends et reprends
Prends et reprends et prends et reprends
Les mirages, les mirages
Sur le sol qui frissonne
Les mirages, les mirages
Sur le sol qui frissonne
Le soleil, le soleil
Sur ta peau des merveilles
Le soleil, le soleil
Sur ta peau des merveilles
Je refais le circuit
Qui me coupe le souffle
Je refais le circuit
Qui me coupe le souffle
J’attends ton retour
J’attends ton retour
J’attends ton retour
J’attends ton retour
J’attends ton retour
J’attends ton retour
J’attends ton retour
J’attends ton retour
J’attends ton retour
|
||||
9. |
Ombre sur toi
03:41
|
|||
Tu me demandes pourquoi je pars en même temps que le jour
Tu me demandes pourquoi j’ai peur de faire demi-tour
Si j’arrivais à retenir ta main plus fort
Si j’arrivais à retenir mon souffle plus longtemps
Resterais-tu dans les profondeurs avec moi?
Tu serais la lumière des nuits sans lune, sans soleil
Je déposerais mon ombre sur toi
On y verrait plus clair
On y verrait plus clair
|
||||
10. |
Préserver le coeur
02:46
|
|||
Préserver le cœur
Des rêves obscurs
Préserver le cœur
Des rêves obscurs
Préserver le cœur
Des rêves obscurs
Préserver le cœur
Des rêves obscurs
Préserver le cœur
Des rêves obscurs
Préserver le cœur
Des rêves obscurs
Préserver le cœur
Des rêves obscurs
Préserver le cœur
Des rêves obscurs
Préserver le cœur
Des rêves obscurs
Préserver le cœur
La fièvre (la fièvre)
Qui coule (qui coule)
Dans les (dans les)
Images (images)
La fièvre (la fièvre)
Qui coule (qui coule)
Dans les (dans les)
Images (images)
La fièvre (la fièvre)
Qui coule (qui coule)
Dans les (dans les)
Images (images)
La fièvre (la fièvre)
Qui coule (qui coule)
Dans les (dans les)
Images (images)
Préserver le cœur
Des rêves obscurs
Préserver le cœur
Des rêves obscurs
Préserver le cœur
Des rêves obscurs
Préserver le cœur
Des rêves obscurs
Préserver le cœur
Des rêves obscurs
Préserver le cœur
Des rêves obscurs
Préserver le cœur
Des rêves obscurs
Préserver le cœur
Des rêves obscurs
Préserver le cœur
Des rêves obscurs
Préserver le cœur
Des rêves obscurs
Préserver le cœur
|
||||
11. |
Vitesse
03:15
|
|||
Je suis le portrait de mes différents visages
Je me lève à l’ombre et je m’éteins sous les lumières
Je reste en retrait et je tourne les pages des souvenirs troués
Je cherche les mots qui manquent
Les cases vides me hantent
Tout me ramène
Au point de départ
Où j’ai vu la romance
Prendre ses distances
Où j’ai vu des étoiles
Mourir sous tes paupières
Vitesse
Vitesse
Vitesse
Vitesse
Vitesse
Vitesse
Vitesse
Je suis le reflet des pensées qui me troublent
Je me perds au sommet pour mieux me retrouver sous terre
Je reste immobile, je retiens le mouvement, les apparitions
Je cherche le sens du langage, la saison du paysage
Tout me ramène
Au point de départ
Où j’ai vu ton regard
Fondre dans le brouillard
Où j’ai pu ressentir
Ton pouls qui s’accélère
Vitesse
Vitesse
Vitesse
Vitesse
Vitesse
Vitesse
Vitesse
|
Laurence-Anne Montreal, Québec
Née dans un pays imaginaire —ou peut-être dans sa tête—, Laurence-Anne existe au milieu de tout et de rien, évoluant quelque part entre le rose carnivore des fleurs et le bleu noyade du fleuve.
Streaming and Download help
If you like Laurence-Anne, you may also like:
Bandcamp Daily your guide to the world of Bandcamp